Au moment où le Chef du gouvernement rencontrait les syndicats les plus représentatifs du secteur de l’éducation pour examiner les moyens de désamorcer la crise dans le secteur, les grèves se poursuivaient. Ainsi, pour la sixième semaine consécutive, la coordination nationale du secteur de l’éducation a annoncé l’organisation d’une grève nationale de quatre jours, cette fois de lundi à jeudi (du 27 au 30 novembre).
Dans un communiqué publié dimanche dernier, la Coordination nationale a par ailleurs annoncé l’organisation de sit-in et de marches à partir de mercredi dont le lieu et la date seront communiqués ultérieurement.
Ainsi face à cette nouvelle escalade, la Fédération nationale des associations de parents et tuteurs d’élèves au Maroc est montée au créneau pour appeler le gouvernement à trouver une solution en urgence à ce dossier afin de «garantir les droits humains et constitutionnels des enfants marocains scolarisés de façon équitable et de traduire le principe d’égalité des chances».
La Fédération a par ailleurs fermement condamné dans son communiqué, publié dimanche dernier, ce qu’elle a qualifié de «retard» dans la prise de toutes les mesures nécessaires pour assurer le retour des élèves dans leurs classes. Elle a également souligné la nécessité de ne pas placer les enfants mineurs en otage des négociations ou des différends, et de garantir le droit à l’éducation des enfants marocains de façon équitable.
Dans le même document, la Fédération a estimé que toutes les parties doivent respecter la hiérarchie des droits, qui place ceux de tous les enfants au plus haut niveau, ces droits devant ainsi être considérés comme une priorité. Dans ce sens, elle a appelé toutes les parties concernées par cette question à faire appel à leur à leur sens de patriotisme et d’avoir une pensée pour les personnes vulnérables qui n’ont pas d’autre recours pour leurs enfants que l’école publique.
La même source a sollicité par ailleurs le gouvernement afin d’œuvrer pour compenser le temps d’enseignement académique initial et reconsidérer le programme scolaire pour l’année académique 2023-2024, indépendamment de la réflexion sur des mécanismes d’accompagnement éducatif adaptés à toutes les catégories sociales, y compris celles les plus vulnérables, ainsi que les étudiants scolarisés dans le monde rural et dans les zones montagneuses. Le même organisme a appelé enfin à accorder le statut dû aux parents d’élèves et à leurs représentants au niveau local et national pour participer effectivement aux processus de réforme visant à suivre et garantir les droits de leurs enfants, qui sont le fondement de tout système éducatif.
Dans un communiqué publié dimanche dernier, la Coordination nationale a par ailleurs annoncé l’organisation de sit-in et de marches à partir de mercredi dont le lieu et la date seront communiqués ultérieurement.
Ainsi face à cette nouvelle escalade, la Fédération nationale des associations de parents et tuteurs d’élèves au Maroc est montée au créneau pour appeler le gouvernement à trouver une solution en urgence à ce dossier afin de «garantir les droits humains et constitutionnels des enfants marocains scolarisés de façon équitable et de traduire le principe d’égalité des chances».
La Fédération a par ailleurs fermement condamné dans son communiqué, publié dimanche dernier, ce qu’elle a qualifié de «retard» dans la prise de toutes les mesures nécessaires pour assurer le retour des élèves dans leurs classes. Elle a également souligné la nécessité de ne pas placer les enfants mineurs en otage des négociations ou des différends, et de garantir le droit à l’éducation des enfants marocains de façon équitable.
Dans le même document, la Fédération a estimé que toutes les parties doivent respecter la hiérarchie des droits, qui place ceux de tous les enfants au plus haut niveau, ces droits devant ainsi être considérés comme une priorité. Dans ce sens, elle a appelé toutes les parties concernées par cette question à faire appel à leur à leur sens de patriotisme et d’avoir une pensée pour les personnes vulnérables qui n’ont pas d’autre recours pour leurs enfants que l’école publique.
La même source a sollicité par ailleurs le gouvernement afin d’œuvrer pour compenser le temps d’enseignement académique initial et reconsidérer le programme scolaire pour l’année académique 2023-2024, indépendamment de la réflexion sur des mécanismes d’accompagnement éducatif adaptés à toutes les catégories sociales, y compris celles les plus vulnérables, ainsi que les étudiants scolarisés dans le monde rural et dans les zones montagneuses. Le même organisme a appelé enfin à accorder le statut dû aux parents d’élèves et à leurs représentants au niveau local et national pour participer effectivement aux processus de réforme visant à suivre et garantir les droits de leurs enfants, qui sont le fondement de tout système éducatif.