Le passage du ministre de l’Agriculture, de la pêche maritime, du développement rural et des eaux et forêts, Mohammed Sadiki, à la Chambre des représentants, lors de la séance hebdomadaire consacrée aux questions orales, a été une nouvelle fois marqué par la passe d’armes entre les groupes de la majorité et de l’opposition sur les apports du Plan Maroc Vert (PMV), en cette période où les prix des produits agricoles enregistrent des hausse jusque-là jamais observées.
Entre les députés de l’opposition qui considèrent que le PMV n’a pas atteint ses objectifs et ceux de la majorité qui soutiennent l’inverse, M. Sadiki a tenu à préciser que la production agricole marocaine exploite actuellement moins d’un milliard de mètres cubes d’eau, au lieu de 3 à 4, voire 5 milliards auparavant. «C’est le calcul qu’il faut faire», souligne le ministre, notant que «les marchés sont aujourd’hui abondamment approvisionnés, et même les problèmes des maladies (qui ravageaient les récoltes) ne sont plus à signaler». Comment nous sommes parvenus à ces résultats ? Tout simplement grâce au PMV et à Génération Green, lesquels déclinent la politique agricole de notre pays conformément à la Vision de S.M. le Roi, annoncée en 2008, affirme M. Sadiki.
Et le ministre de poursuivre que le PMV a rompu avec les approches fragmentaires en instaurant une vision d’ensemble. Et si l’on veut faire une évaluation initiale, dit-il, «il faut considérer la situation avant ce plan et comment se portait l’agriculture. Même les agriculteurs étaient appelés “paysans”». Aujourd’hui, enchaîne M. Sadiki, «nous évoluons donc sur une trajectoire très prenante, comme l’ont admis tous les organismes qui procèdent à des évaluations sur la base de principes scientifiques et techniques, et au vu des signaux importants illustrés par les demandes que nous recevons de notre voisinage, notamment des pays subsahariens, qui aspirent à appliquer des approches calquées sur notre modèle».
Le ministre a également rappelé que la conjoncture actuelle n’est pas normale et que l’on ne peut pas évaluer le «stratégique» en fonction du «conjoncturel» (même si le fait que les marchés soient bien apprivoisés en cette conjoncture témoigne déjà du succès du plan). D’autres pays ont aujourd’hui un problème d’abondance (de produits agricoles), fait remarquer M. Sadiki, qui reconnaît qu’il y a aussi un problème de cherté, mais ce problème n’est pas uniquement dû à la sécheresse mais aussi à d’autres facteurs tels que la cherté des semences ou l’envolée des prix des engrais azotés.
Entre les députés de l’opposition qui considèrent que le PMV n’a pas atteint ses objectifs et ceux de la majorité qui soutiennent l’inverse, M. Sadiki a tenu à préciser que la production agricole marocaine exploite actuellement moins d’un milliard de mètres cubes d’eau, au lieu de 3 à 4, voire 5 milliards auparavant. «C’est le calcul qu’il faut faire», souligne le ministre, notant que «les marchés sont aujourd’hui abondamment approvisionnés, et même les problèmes des maladies (qui ravageaient les récoltes) ne sont plus à signaler». Comment nous sommes parvenus à ces résultats ? Tout simplement grâce au PMV et à Génération Green, lesquels déclinent la politique agricole de notre pays conformément à la Vision de S.M. le Roi, annoncée en 2008, affirme M. Sadiki.
Et le ministre de poursuivre que le PMV a rompu avec les approches fragmentaires en instaurant une vision d’ensemble. Et si l’on veut faire une évaluation initiale, dit-il, «il faut considérer la situation avant ce plan et comment se portait l’agriculture. Même les agriculteurs étaient appelés “paysans”». Aujourd’hui, enchaîne M. Sadiki, «nous évoluons donc sur une trajectoire très prenante, comme l’ont admis tous les organismes qui procèdent à des évaluations sur la base de principes scientifiques et techniques, et au vu des signaux importants illustrés par les demandes que nous recevons de notre voisinage, notamment des pays subsahariens, qui aspirent à appliquer des approches calquées sur notre modèle».
Le ministre a également rappelé que la conjoncture actuelle n’est pas normale et que l’on ne peut pas évaluer le «stratégique» en fonction du «conjoncturel» (même si le fait que les marchés soient bien apprivoisés en cette conjoncture témoigne déjà du succès du plan). D’autres pays ont aujourd’hui un problème d’abondance (de produits agricoles), fait remarquer M. Sadiki, qui reconnaît qu’il y a aussi un problème de cherté, mais ce problème n’est pas uniquement dû à la sécheresse mais aussi à d’autres facteurs tels que la cherté des semences ou l’envolée des prix des engrais azotés.