Cette décision a été prise lors d’une réunion organisée vendredi dernier à Rabat entre la coordination syndicale et des responsables du ministère de la Santé et de la Protection sociale. La réunion portait sur l'application rapide et intégrale de l’accord du 23 juillet et sur l’opérationnalisation de ses différents points.
Les syndicats ont souligné que cette phase ne devait pas rouvrir les discussions sur les termes de l’accord, mais plutôt se concentrer sur son exécution. Ils ont salué des avancées telles que l’adoption d’un décret sur les attachés scientifiques, incluant des améliorations financières et professionnelles qui ont été bien accueillies par le personnel de santé.
De son côté, le ministère a affirmé avoir travaillé sur l’application de l’accord malgré l’absence de réunions récentes. Plusieurs décrets sont en cours de finalisation ou en discussion. Le ministère a aussi confirmé que les salaires des professionnels du secteur seraient payés à partir du budget général de l’État, tout en maintenant leur statut de fonctionnaires.
Dans un communiqué, la coordination a salué la réactivité positive du gouvernement et exhorté les autorités à mettre en œuvre l’intégralité de l’accord. Cela renforcerait l’espoir de résoudre les divers problèmes du secteur selon une approche partenariale, visant à améliorer les conditions de travail et réformer le système de santé.
Parmi les principales demandes exprimées, figurent le maintien des droits des professionnels de santé en tant que fonctionnaires, l’assurance que leurs salaires soient payés à partir du budget de l’État, ainsi que l’activation des textes réglementaires liés aux mutations et nominations.
Concernant les revendications financières, la coordination propose une augmentation mensuelle nette de 500 dirhams pour les cadres infirmiers et de 200 dirhams pour les cadres administratifs et techniques, à compter du 1er juillet 2025. Ces augmentations s'ajouteraient à celles déjà prévues dans l’accord d’avril 2024. Par ailleurs, elle suggère une amélioration des conditions de promotion et l’introduction d’une nouvelle échelle de grade pour les professionnels de santé dans le cadre de la réforme des retraites.
Un atelier est prévu le 25 février pour discuter du projet de décret portant sur le statut type du personnel de santé, tandis qu’une réunion préliminaire aura lieu le 12 février pour examiner l’avancement des travaux relatifs à une indemnité spécifique au travail dans les programmes de santé.
La coordination a conclu en exprimant sa gratitude envers toutes les parties ayant contribué au succès de l’accord, le qualifiant de pas important pour améliorer les conditions de travail et renforcer le système national de santé.
Les syndicats ont souligné que cette phase ne devait pas rouvrir les discussions sur les termes de l’accord, mais plutôt se concentrer sur son exécution. Ils ont salué des avancées telles que l’adoption d’un décret sur les attachés scientifiques, incluant des améliorations financières et professionnelles qui ont été bien accueillies par le personnel de santé.
De son côté, le ministère a affirmé avoir travaillé sur l’application de l’accord malgré l’absence de réunions récentes. Plusieurs décrets sont en cours de finalisation ou en discussion. Le ministère a aussi confirmé que les salaires des professionnels du secteur seraient payés à partir du budget général de l’État, tout en maintenant leur statut de fonctionnaires.
Dans un communiqué, la coordination a salué la réactivité positive du gouvernement et exhorté les autorités à mettre en œuvre l’intégralité de l’accord. Cela renforcerait l’espoir de résoudre les divers problèmes du secteur selon une approche partenariale, visant à améliorer les conditions de travail et réformer le système de santé.
Parmi les principales demandes exprimées, figurent le maintien des droits des professionnels de santé en tant que fonctionnaires, l’assurance que leurs salaires soient payés à partir du budget de l’État, ainsi que l’activation des textes réglementaires liés aux mutations et nominations.
Concernant les revendications financières, la coordination propose une augmentation mensuelle nette de 500 dirhams pour les cadres infirmiers et de 200 dirhams pour les cadres administratifs et techniques, à compter du 1er juillet 2025. Ces augmentations s'ajouteraient à celles déjà prévues dans l’accord d’avril 2024. Par ailleurs, elle suggère une amélioration des conditions de promotion et l’introduction d’une nouvelle échelle de grade pour les professionnels de santé dans le cadre de la réforme des retraites.
Un atelier est prévu le 25 février pour discuter du projet de décret portant sur le statut type du personnel de santé, tandis qu’une réunion préliminaire aura lieu le 12 février pour examiner l’avancement des travaux relatifs à une indemnité spécifique au travail dans les programmes de santé.
La coordination a conclu en exprimant sa gratitude envers toutes les parties ayant contribué au succès de l’accord, le qualifiant de pas important pour améliorer les conditions de travail et renforcer le système national de santé.