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La communication s’avère un levier essentiel pour inciter le grand public à changer de comportement. Ce constat, connu de tous, se vérifie encore plus si l’on souhaite réussir certains chantiers jugés stratégiques pour notre pays, tel que celui de la généralisation de la protection sociale à l’ensemble de la population. Un chantier qui a été lancé par le Souverain en avril 2021 et qui se veut aujourd’hui une étape importante sur la voie de la promotion de la justice sociale et de la préservation de la dignité des citoyens.
Ce sont là les principales idées qui ont été échangées lors de la conférence «Gagner la confiance de la jeunesse marocaine face aux défis du futur du travail et de la protection sociale». Cet événement a eu lieu en marge de la journée d’études qui a été organisée le 7 mars dernier par l’ESCA école de management, en partenariat avec plusieurs institutions de renom, telles que l’ICN Business School-Nancy, Al Akhawayn University-Ifrane, la Fondation Abdelkader Bensalah (FABS) et la Chaire UNESCA «Science et Art». Réunissant des experts, des professionnels et des jeunes étudiants, la journée d’études a été l’occasion de discuter de l’avenir de la protection sociale au Maroc.
Le président de la Caisse mutualiste interprofessionnelle marocaine (CMIM), Abdelaziz Alaoui, insiste sur ce point. Pour lui, les jeunes doivent suffisamment être informés, mais aussi sensibilisés aux enjeux de la protection sociale. Et de noter que les jeunes étudiants sont les salariés de demain, d’où l’intérêt de les impliquer dans les chantiers stratégiques du Royaume et essentiellement celui de la protection sociale qui nous concerne tous. Dans la même veine, Abderrahim Ouridi, actuaire et ex-directeur de la Chaire prévoyance et retraite, estime que la communication reste le maître-mot, d’une part, pour réussir le chantier de la protection sociale et, d’autre part, pour rétablir le lien de confiance avec les jeunes. Il regrette, en effet, que la confiance soit brisée et appelle à une convergence des efforts. L’expert tient à souligner qu’il faut donc former, informer avant de réformer, tout en rappelant la nécessité d’avoir un système d’enseignement de qualité, partant du principe que tout est lié et qu’on ne peut pas espérer un changement dans le domaine de la santé alors que les autres domaines sont défaillants.
Ce sont là les principales idées qui ont été échangées lors de la conférence «Gagner la confiance de la jeunesse marocaine face aux défis du futur du travail et de la protection sociale». Cet événement a eu lieu en marge de la journée d’études qui a été organisée le 7 mars dernier par l’ESCA école de management, en partenariat avec plusieurs institutions de renom, telles que l’ICN Business School-Nancy, Al Akhawayn University-Ifrane, la Fondation Abdelkader Bensalah (FABS) et la Chaire UNESCA «Science et Art». Réunissant des experts, des professionnels et des jeunes étudiants, la journée d’études a été l’occasion de discuter de l’avenir de la protection sociale au Maroc.
Protection sociale et jeunes: former et informer pour réformer
Les participants à la conférence n’ont pas manqué de rappeler l’importance du chantier de la généralisation de la protection sociale au Maroc, à commencer la généralisation de l’assurance maladie obligatoire et l’octroi des aides directes aux familles démunies, conformément aux échéances fixées par la loi-cadre relative à la protection sociale. Ils estiment, toutefois, que des efforts restent à fournir et en particulier sur le volet de la communication.Le président de la Caisse mutualiste interprofessionnelle marocaine (CMIM), Abdelaziz Alaoui, insiste sur ce point. Pour lui, les jeunes doivent suffisamment être informés, mais aussi sensibilisés aux enjeux de la protection sociale. Et de noter que les jeunes étudiants sont les salariés de demain, d’où l’intérêt de les impliquer dans les chantiers stratégiques du Royaume et essentiellement celui de la protection sociale qui nous concerne tous. Dans la même veine, Abderrahim Ouridi, actuaire et ex-directeur de la Chaire prévoyance et retraite, estime que la communication reste le maître-mot, d’une part, pour réussir le chantier de la protection sociale et, d’autre part, pour rétablir le lien de confiance avec les jeunes. Il regrette, en effet, que la confiance soit brisée et appelle à une convergence des efforts. L’expert tient à souligner qu’il faut donc former, informer avant de réformer, tout en rappelant la nécessité d’avoir un système d’enseignement de qualité, partant du principe que tout est lié et qu’on ne peut pas espérer un changement dans le domaine de la santé alors que les autres domaines sont défaillants.
