Dans des déclarations à la presse, les représentants des cinq syndicats de l'enseignement les plus représentatifs, à savoir, la Fédération nationale de l'enseignement (UMT), le Syndicat national de l'enseignement (CDT), la Fédération libre de l'éducation (UGTM), la Fédération national de l'enseignement (FNE) et le Syndicat national de l'enseignement (FDT), ont relevé que l'accord signé implique "une modification globale du statut", saluant "l'interaction positive du gouvernement" avec les revendications des enseignants.
A cet égard, le secrétaire général de la Fédération nationale de l'enseignement relevant de l'Union marocaine du travail (UMT), Miloud Maassid, a indiqué dans une déclaration à la presse que l'accord apporte une modification globale du statut, en plus de résoudre un ensemble de dossiers catégoriels, saluant la "volonté politique" affichée par le gouvernement pour résoudre tous les dossiers. De même, il a appelé les enseignants à "réagir et rejoindre les établissements d'enseignement".
De son côté, le secrétaire général national de la Fédération nationale de l'éducation (FNE) -Orientation démocratique-, Abdallah Ghoumit, a salué, dans une déclaration similaire, cet accord qui "a apporté des solutions justes aux problèmes soulevés et aux questions en suspens", soulignant que le dialogue est nécessaire dans le secteur de l'éducation nationale pour résoudre les problèmes qui affectent l'éducation publique dans ses différentes composantes.
Pour sa part, le secrétaire général de la Fédération libre de l'enseignement, affiliée à l'Union générale des travailleurs du Maroc, Youssef Allakouch, a mis en avant l'interaction positive du gouvernement avec les revendications légitimes et justes de la famille de l’éducation, saluant "l'attention et l'écoute" apportées par le gouvernement à la voix des femmes et hommes de l'éducation.
Quant au secrétaire national adjoint du Syndicat national de l'enseignement, Mohamed Nouiga, il a assuré que cet accord est "historique, car il a permis de réaliser des acquis très importants avec un impact financier". Aussi, il a estimé que les résultats obtenus par l'accord représente un point d'entrée fondamental pour la réforme du système éducatif, la formation et le retour en classe.
Le secrétaire général du Syndicat national de l'éducation affilié à la Confédération démocratique du travail (CDT), Younès Ferachine, a qualifié de "moment important" la signature de l'accord, soulignant l'importance de la mobilisation en faveur des écoles publiques pour garantir le droit des élèves à l'éducation.
Le procès-verbal de l'accord signé entre la Commission ministérielle chargée du traitement des problématiques liées au statut des fonctionnaires de l'Éducation nationale, et les syndicats de l’enseignement les plus représentatifs, comprend des mesures concernant la situation du personnel enseignant et des nouveautés relatives aux aspects financiers, ainsi que d’autres dossiers et revendications.
L’accord prévoit l’adoption d’un décret qui remplace le décret adopté le 6 octobre 2023, portant sur le statut unifié des fonctionnaires du département de l’éducation nationale. Aussi, il a été convenu de définir la durée hebdomadaire d’enseignement des cadres de l’enseignement, par une décision de l’autorité gouvernementale en charge de l’éducation nationale, et ce, après consultation de la commission permanente de renouvellement et d'adaptation des curricula et des programmes, en ce qui concerne l’allégement des programmes et des curricula et son impact sur l’allègement de la durée d’enseignement et des rythmes académiques.
Au niveau des mesures financières, il a été décidé d’intégrer les fonctionnaires du département de l’éducation nationale appartenant aux organismes interministériels, à leur demande, au sein des cadres du département de l’éducation nationale.
En vertu de cet accord, il a été aussi convenu de traiter les retenues sur salaires qui ont affecté les fonctionnaires lors de la dernière période, et l’augmentation des indemnités complémentaires aux enseignants agrégés d'un montant mensuel net de 500 DH, en plus d’une augmentation dans les indemnités complémentaires des conseillers d’orientation et des conseillers de planification pédagogique, d’un montant mensuel net de 300 DH, ainsi que l’octroi d’une indemnité, ratifiée sur la base de l’accord du 10 décembre 2023, aux fonctionnaires classés au grade exceptionnelle (hors échelle), dont le montant mensuel est fixé à 1.000 DH, à partir du grade 3 au lieu du grade 5.
L’accord a, en outre, porté sur d’autres dossiers, dont la création d’une classe exceptionnelle hors échelle avec échelon spécial au profit des cadres dont le parcours professionnel prend fin à la classe exceptionnelle (hors échelle). Cette mesure prendra effet à partir de 2026, en lien avec les résultats du dialogue social central.
Les deux parties ont, aussi, convenu de mettre en place un statut unifié propre aux enseignants agrégés, ainsi que du traitement des cotisations à la retraite relatives aux fonctionnaires, en plus du dossier du corps enseignant exerçant des les zones reculées, en plus de l'automatisation des spécialistes pédagogiques et sociaux, et ceux chargés de l’économie et de l’administration.
A cet égard, le secrétaire général de la Fédération nationale de l'enseignement relevant de l'Union marocaine du travail (UMT), Miloud Maassid, a indiqué dans une déclaration à la presse que l'accord apporte une modification globale du statut, en plus de résoudre un ensemble de dossiers catégoriels, saluant la "volonté politique" affichée par le gouvernement pour résoudre tous les dossiers. De même, il a appelé les enseignants à "réagir et rejoindre les établissements d'enseignement".
De son côté, le secrétaire général national de la Fédération nationale de l'éducation (FNE) -Orientation démocratique-, Abdallah Ghoumit, a salué, dans une déclaration similaire, cet accord qui "a apporté des solutions justes aux problèmes soulevés et aux questions en suspens", soulignant que le dialogue est nécessaire dans le secteur de l'éducation nationale pour résoudre les problèmes qui affectent l'éducation publique dans ses différentes composantes.
Pour sa part, le secrétaire général de la Fédération libre de l'enseignement, affiliée à l'Union générale des travailleurs du Maroc, Youssef Allakouch, a mis en avant l'interaction positive du gouvernement avec les revendications légitimes et justes de la famille de l’éducation, saluant "l'attention et l'écoute" apportées par le gouvernement à la voix des femmes et hommes de l'éducation.
Quant au secrétaire national adjoint du Syndicat national de l'enseignement, Mohamed Nouiga, il a assuré que cet accord est "historique, car il a permis de réaliser des acquis très importants avec un impact financier". Aussi, il a estimé que les résultats obtenus par l'accord représente un point d'entrée fondamental pour la réforme du système éducatif, la formation et le retour en classe.
Le secrétaire général du Syndicat national de l'éducation affilié à la Confédération démocratique du travail (CDT), Younès Ferachine, a qualifié de "moment important" la signature de l'accord, soulignant l'importance de la mobilisation en faveur des écoles publiques pour garantir le droit des élèves à l'éducation.
Le procès-verbal de l'accord signé entre la Commission ministérielle chargée du traitement des problématiques liées au statut des fonctionnaires de l'Éducation nationale, et les syndicats de l’enseignement les plus représentatifs, comprend des mesures concernant la situation du personnel enseignant et des nouveautés relatives aux aspects financiers, ainsi que d’autres dossiers et revendications.
L’accord prévoit l’adoption d’un décret qui remplace le décret adopté le 6 octobre 2023, portant sur le statut unifié des fonctionnaires du département de l’éducation nationale. Aussi, il a été convenu de définir la durée hebdomadaire d’enseignement des cadres de l’enseignement, par une décision de l’autorité gouvernementale en charge de l’éducation nationale, et ce, après consultation de la commission permanente de renouvellement et d'adaptation des curricula et des programmes, en ce qui concerne l’allégement des programmes et des curricula et son impact sur l’allègement de la durée d’enseignement et des rythmes académiques.
Au niveau des mesures financières, il a été décidé d’intégrer les fonctionnaires du département de l’éducation nationale appartenant aux organismes interministériels, à leur demande, au sein des cadres du département de l’éducation nationale.
En vertu de cet accord, il a été aussi convenu de traiter les retenues sur salaires qui ont affecté les fonctionnaires lors de la dernière période, et l’augmentation des indemnités complémentaires aux enseignants agrégés d'un montant mensuel net de 500 DH, en plus d’une augmentation dans les indemnités complémentaires des conseillers d’orientation et des conseillers de planification pédagogique, d’un montant mensuel net de 300 DH, ainsi que l’octroi d’une indemnité, ratifiée sur la base de l’accord du 10 décembre 2023, aux fonctionnaires classés au grade exceptionnelle (hors échelle), dont le montant mensuel est fixé à 1.000 DH, à partir du grade 3 au lieu du grade 5.
L’accord a, en outre, porté sur d’autres dossiers, dont la création d’une classe exceptionnelle hors échelle avec échelon spécial au profit des cadres dont le parcours professionnel prend fin à la classe exceptionnelle (hors échelle). Cette mesure prendra effet à partir de 2026, en lien avec les résultats du dialogue social central.
Les deux parties ont, aussi, convenu de mettre en place un statut unifié propre aux enseignants agrégés, ainsi que du traitement des cotisations à la retraite relatives aux fonctionnaires, en plus du dossier du corps enseignant exerçant des les zones reculées, en plus de l'automatisation des spécialistes pédagogiques et sociaux, et ceux chargés de l’économie et de l’administration.