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Face aux inondations causées par les crues de l’oued Châaba, la ville de Safi a connu ces derniers jours une mobilisation coordonnée des autorités locales afin de porter assistance aux familles sinistrées. En partenariat avec la délégation provinciale de l’Entraide nationale et le conseil communal, plusieurs centres de protection sociale ont été mobilisés pour accueillir les ménages touchés, avec une prise en charge intégrale des frais d’hébergement et de restauration.
Ces mesures, à vocation humanitaire, visent à assurer un minimum de stabilité sociale aux familles dont les logements ont été gravement affectés par la montée des eaux. Elles interviennent dans l’attente de la mise en place de solutions de relogement durables, tout en cherchant à atténuer l’impact de ce drame sur les conditions de vie des personnes concernées, d’autant plus que les perturbations météorologiques persistent.
Selon des sources concordantes, plusieurs familles ont ainsi été transférées vers des centres d’hébergement temporaire spécialement aménagés pour répondre à l’urgence de la situation, notamment au niveau de l'ancienne médina, particulièrement exposés aux risques. Les autorités ont assuré que ces opérations se poursuivront dans les prochains jours, jusqu’à l’amélioration des conditions météorologiques et l’adoption de réponses structurelles adaptées.
Dans ce contexte, la question de l’indemnisation des victimes refait surface. Des interrogations ont été soulevées quant à l’éligibilité des familles sinistrées, et notamment celles ayant perdu des proches, aux dispositifs du Fonds de solidarité contre les catastrophes naturelles. Des acteurs associatifs appellent également à la déclaration de Safi comme zone sinistrée, une mesure qui permettrait d’activer des mécanismes de soutien élargis et d’assouplir les conditions d’accès à ce fonds public.
Parallèlement à l’action des autorités, la société civile locale s’est fortement mobilisée. Plusieurs associations ont organisé la distribution de denrées alimentaires, de produits de première nécessité et d’équipements logistiques au profit des familles affectées. Des initiatives citoyennes ont également permis le nettoyage des ruelles et des passages de la médina, envahis par la boue et les débris, contribuant à restaurer un minimum de salubrité.
Cette dynamique de solidarité a été largement saluée par les habitants, qui ont exprimé leur reconnaissance envers l’ensemble des intervenants pour leur réactivité, leur sens des responsabilités et les efforts déployés pour protéger les populations, notamment face aux risques d’effondrement des habitations fragilisées par les pluies torrentielles et les crues soudaines.
Ces mesures, à vocation humanitaire, visent à assurer un minimum de stabilité sociale aux familles dont les logements ont été gravement affectés par la montée des eaux. Elles interviennent dans l’attente de la mise en place de solutions de relogement durables, tout en cherchant à atténuer l’impact de ce drame sur les conditions de vie des personnes concernées, d’autant plus que les perturbations météorologiques persistent.
Selon des sources concordantes, plusieurs familles ont ainsi été transférées vers des centres d’hébergement temporaire spécialement aménagés pour répondre à l’urgence de la situation, notamment au niveau de l'ancienne médina, particulièrement exposés aux risques. Les autorités ont assuré que ces opérations se poursuivront dans les prochains jours, jusqu’à l’amélioration des conditions météorologiques et l’adoption de réponses structurelles adaptées.
Dans ce contexte, la question de l’indemnisation des victimes refait surface. Des interrogations ont été soulevées quant à l’éligibilité des familles sinistrées, et notamment celles ayant perdu des proches, aux dispositifs du Fonds de solidarité contre les catastrophes naturelles. Des acteurs associatifs appellent également à la déclaration de Safi comme zone sinistrée, une mesure qui permettrait d’activer des mécanismes de soutien élargis et d’assouplir les conditions d’accès à ce fonds public.
Parallèlement à l’action des autorités, la société civile locale s’est fortement mobilisée. Plusieurs associations ont organisé la distribution de denrées alimentaires, de produits de première nécessité et d’équipements logistiques au profit des familles affectées. Des initiatives citoyennes ont également permis le nettoyage des ruelles et des passages de la médina, envahis par la boue et les débris, contribuant à restaurer un minimum de salubrité.
Cette dynamique de solidarité a été largement saluée par les habitants, qui ont exprimé leur reconnaissance envers l’ensemble des intervenants pour leur réactivité, leur sens des responsabilités et les efforts déployés pour protéger les populations, notamment face aux risques d’effondrement des habitations fragilisées par les pluies torrentielles et les crues soudaines.
