Selon des témoignages recueillis par Assahra Al Maghribia, les habitants se retrouvent une fois de plus livrés à eux-mêmes, contraints d’affronter les mêmes souffrances à chaque saison des pluies. Certains, à bout de patience, tentent avec des moyens rudimentaires d’ouvrir des passages de fortune à travers l’oued, en attendant une intervention technique des autorités.
« Ce n’est plus un incident conjoncturel, c’est devenu une réalité récurrente », déplore un habitant contacté par le journal. Les appels se multiplient pour une intervention urgente des services provinciaux afin de mettre en place des solutions durables.
Ces inondations rappellent avec force la fragilité des infrastructures dans les zones montagneuses de la région, où l’absence d’équipements de protection et de routes sécurisées continue d’exposer les populations rurales aux aléas climatiques. En attendant que les promesses officielles se traduisent en projets concrets, les habitants des douars sinistrés restent prisonniers de l’isolement, privés de leur droit fondamental à la mobilité et à une vie digne.
« Ce n’est plus un incident conjoncturel, c’est devenu une réalité récurrente », déplore un habitant contacté par le journal. Les appels se multiplient pour une intervention urgente des services provinciaux afin de mettre en place des solutions durables.
Ces inondations rappellent avec force la fragilité des infrastructures dans les zones montagneuses de la région, où l’absence d’équipements de protection et de routes sécurisées continue d’exposer les populations rurales aux aléas climatiques. En attendant que les promesses officielles se traduisent en projets concrets, les habitants des douars sinistrés restent prisonniers de l’isolement, privés de leur droit fondamental à la mobilité et à une vie digne.
