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Moulay Ahmed Afilal, vice-président du conseil communal de Casablanca, alerte sur une "crise de la soif", signalant que "la ville de Casablanca est confrontée à une importante pénurie d'eau, en raison de la sécheresse et des faibles précipitations. Ce qui est inquiétant dans cette situation, c’est que les citoyens ignorent toujours cette crise". Il a souligné dans une déclaration à "Assahraa Maghribia" que "de grandes quantités d’eau sont gaspillées par certains propriétaires d’usines et de magasins, sans tenir compte de la gravité du stress hydrique que connaît le Maroc".
Face à cette situation critique, Afilal a indiqué que "la Commune cherche à trouver des solutions avec des partenaires, notamment Lydec, afin d’assurer l’approvisionnement de la ville en eau durant l’été". L’adjoint au maire de Casablanca a rappelé que la métropole a besoin de 23.000 mètres cubes d'eau par jour. A cet égard, la Commune a commencé à réduire quotidiennement le débit d'eau potable dans les réseaux de distribution dans un certain nombre de quartiers, a-t-il fait savoir. Et de noter que le Conseil avait précédemment ordonné aux sociétés de nettoyage de cesser d'utiliser l'eau potable pour le nettoyage des rues et de réduire le gaspillage de cette matière vitale.
La question de l'exploitation des sources d’eau de la ville qui ont été enterrées à cause des travaux est envisagée par les responsables de la Commune, qui soulignent que si les sources naturelles situées dans plusieurs zones étaient exploitées, la ville ne connaîtrait pas de pénurie d'eau. Dans ce contexte, Afilal a cité certains exemples comme les sources d’eau situées au niveau des préfectures de Ain Sebaâ et Ain Chock, qui ont été enterrées à cause de travaux ces dernières années et dont l'eau est canalisée via les réseaux des eaux usées. Il est à noter que la capitale économique, sur la base d'un projet gouvernemental, verra la construction d'un barrage afin de faire face au problème de pénurie d’eau, notamment au niveau du sud de Casablanca, où se situent les quartiers de Hay Hassani, Ain Chock et Moulay Rachid.
Face à cette situation critique, Afilal a indiqué que "la Commune cherche à trouver des solutions avec des partenaires, notamment Lydec, afin d’assurer l’approvisionnement de la ville en eau durant l’été". L’adjoint au maire de Casablanca a rappelé que la métropole a besoin de 23.000 mètres cubes d'eau par jour. A cet égard, la Commune a commencé à réduire quotidiennement le débit d'eau potable dans les réseaux de distribution dans un certain nombre de quartiers, a-t-il fait savoir. Et de noter que le Conseil avait précédemment ordonné aux sociétés de nettoyage de cesser d'utiliser l'eau potable pour le nettoyage des rues et de réduire le gaspillage de cette matière vitale.
La question de l'exploitation des sources d’eau de la ville qui ont été enterrées à cause des travaux est envisagée par les responsables de la Commune, qui soulignent que si les sources naturelles situées dans plusieurs zones étaient exploitées, la ville ne connaîtrait pas de pénurie d'eau. Dans ce contexte, Afilal a cité certains exemples comme les sources d’eau situées au niveau des préfectures de Ain Sebaâ et Ain Chock, qui ont été enterrées à cause de travaux ces dernières années et dont l'eau est canalisée via les réseaux des eaux usées. Il est à noter que la capitale économique, sur la base d'un projet gouvernemental, verra la construction d'un barrage afin de faire face au problème de pénurie d’eau, notamment au niveau du sud de Casablanca, où se situent les quartiers de Hay Hassani, Ain Chock et Moulay Rachid.
