À 35 ans, la vie semble suivre son cours, sans signe distinctif particulier. Pourtant, pour une femme qui espère tomber enceinte, ce chiffre prend une tout autre signification. Il marque un tournant biologique souvent redouté, celui où la fertilité commence à décliner, rendant la conception plus incertaine.
Pendant longtemps, les scientifiques ont fixé cet âge comme un seuil critique en matière de fertilité féminine. Avant 35 ans, la plupart des femmes n’éprouvent pas de difficulté majeure à concevoir. Après cet âge, les chances de grossesse diminuent sensiblement, et les risques de complications augmentent. En témoignent les termes médicaux tels que «grossesse gériatrique» ou «mère âgée», des expressions qui, bien que peu flatteuses, traduisent une réalité biologique implacable.
Au Maroc, de nombreux spécialistes sont confrontés à des patientes qui, après un mariage tardif, espèrent concevoir naturellement. Mais le temps joue contre elles. Entre espoir et désillusion, beaucoup se heurtent à une réalité difficile : celle d’un parcours semé d’embûches, où les traitements de fertilité deviennent souvent la seule alternative, parfois sans garantie de succès.
Pour celles qui consultent après 35 ou 40 ans, différentes options restent envisageables, en fonction du bilan médical du couple. «Si la réserve ovarienne est encore correcte et qu’aucun autre problème majeur n’est détecté, une stimulation ovarienne suivie d’une insémination artificielle peut être une option», précise l’experte. «Dans d’autres cas, une FIV (fécondation in vitro) est souvent privilégiée pour maximiser les chances de succès, voire complétée par un dépistage génétique préimplantatoire (PGT) pour éviter certaines anomalies chromosomiques».
Cependant, même si après 40 ans, les chances de succès diminuent considérablement, certaines femmes ayant congelé leurs ovocytes plus jeunes peuvent encore espérer une grossesse grâce à cette technique de préservation de la fertilité.
«Le principal défi pour ces femmes reste la baisse de la réserve ovarienne, qui réduit les chances de grossesse spontanée et l’efficacité des traitements de PMA», souligne Chafika Bendjennat. En effet, dès la naissance, une femme possède environ 1 à 2 millions d’ovocytes, un nombre qui chute à 300.000 à la puberté et continue de diminuer jusqu’à la ménopause. Après 35 ans, cette diminution s’accélère et la qualité des ovocytes se détériore, augmentant les risques d’anomalies chromosomiques et de fausses couches.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : à 40 ans, le taux de réussite d’une FIV est d’environ 10 à 15%, contre 40% avant 35 ans. Un écart qui souligne l’importance de l’anticipation. «Un bilan hormonal et un spermogramme dès 33-35 ans permettent d’adapter les stratégies et d’optimiser les chances de grossesse», insiste la spécialiste. L’information et la prévention restent ainsi les meilleures armes face à l’horloge biologique, pour aider chaque femme à mettre toutes les chances de son côté dans son parcours vers la maternité.
C’est pourquoi il est recommandé aux femmes qui ne sont pas encore mariées de consulter un gynécologue spécialiste de la fertilité dès l'âge de 33 ans. Il ne faut pas attendre le mariage pour entamer cette démarche. Un simple bilan hormonal peut permettre d’évaluer la réserve ovarienne et d’anticiper d’éventuelles difficultés. Trop souvent, des femmes très actives qui décident d’avoir un enfant après 35 ans découvrent que ce n’est pas aussi facile qu’elles l’avaient imaginé.
Certaines femmes devraient consulter encore plus tôt, notamment en présence de signes évocateurs d’un trouble de la fertilité. Par exemple : Des menstruations très douloureuses accompagnées de crampes intenses ne doivent pas être considérées comme normales. Elles peuvent être le signe d’une endométriose, une maladie qui peut non seulement impacter la qualité de vie, mais aussi affecter la fertilité.
Des cycles irréguliers peuvent révéler une insuffisance ovarienne précoce ou un syndrome des ovaires polykystiques (SOPK). Ce syndrome très répandu s’accompagne souvent de signes cliniques liés aux troubles hormonaux comme une pilosité excessive, une peau grasse avec de l’acné persistante, une prise de poids difficile à contrôler ou encore une chute de cheveux.
Comment les habitudes de vie, telles que l'alimentation et l’exercice, peuvent-elles influencer la fertilité à un âge plus avancé ?
Les habitudes de vie influencent la fertilité bien avant 35 ou 38 ans. Une femme qui approche la trentaine et envisage de se marier devrait déjà adopter une hygiène de vie adaptée. L’épigénétique montre que le mode de vie des parents dans les 6 mois précédant la conception influence directement la santé de l’enfant.
De nombreux troubles de la fertilité sont initiés, entretenus ou aggravés par une alimentation inadaptée. L’alimentation fonctionnelle joue un rôle clé dans l’amélioration de la fertilité, le bon déroulement de la grossesse et la santé du futur enfant.
C’est pourquoi, dans mes programmes d’accompagnement, j'aide les femmes qui souhaitent optimiser leur fertilité, qu’elles soient en essai naturel ou en parcours PMA (Procréation médicale assistée). Nous travaillons, moi et l'équipe médicale partenaire spécialiste en infertilité, sur un mode de vie adapté, incluant un régime pro-fertilité conçu pour améliorer la qualité des ovocytes et du sperme, réduire l’inflammation et équilibrer les hormones.
J’explore les principes de l’alimentation fonctionnelle, expliquant aux couples pourquoi et comment les choix alimentaires impactent la santé et la fertilité. L’objectif est de donner aux femmes les outils pour anticiper et maximiser leurs chances de conception, que ce soit naturellement ou via une assistance médicale à la procréation.
Existe-t-il des techniques de relaxation ou de gestion du stress spécifiques qui peuvent améliorer les chances de conception chez les femmes plus âgées ?
Les couples, et en particulier les femmes en parcours PMA, sont souvent confrontés à un niveau de stress extrêmement élevé. L’attente des résultats, les échecs d’implantation ou l’absence de grossesse peuvent provoquer un sentiment d’impuissance, de tristesse profonde, voire une dépression.
C’est pourquoi je mets un point d’honneur à les préparer émotionnellement dès le début. Il est essentiel de comprendre que la FIV n’est pas une garantie de grossesse, mais une tentative, avec des chances qui s’améliorent grâce à un taux cumulatif au fil des essais.
Pour les accompagner, j’intègre des séances de coaching santé et de motivation, où nous travaillons sur la gestion des émotions, la résilience et la préparation mentale aux éventuels échecs. La respiration cardiaque est une technique clé pour aider à surmonter les moments de stress intense, notamment avant un protocole ou lors d’une crise d’angoisse.
Nous pouvons également avoir recours à certaines disciplines de médecine parallèle, à condition qu’elles soient pratiquées par des médecins experts. Il existe, aujourd’hui, de plus en plus de médecins spécialisés en médecine chinoise, en acupuncture ou dans d’autres approches complémentaires, qui peuvent aider à réduire le stress et l’anxiété tout en soutenant le parcours de fertilité.
L’objectif est d’aider les couples à aborder leur parcours PMA avec plus de sérénité, à mieux gérer leurs émotions et à maintenir un équilibre psychologique essentiel pour optimiser leurs chances de succès.
Enfin que recommandez-vous aux femmes qui se sentent découragées par la pression de l'âge et les traitements qui semblent plus limités ?
L’un des pièges les plus courants dans un parcours de fertilité est la perte de temps précieux. Beaucoup de femmes passent d’un médecin à un autre, sans réelle spécialisation en fertilité, ou changent de praticien comme on change de chemise, espérant trouver une solution miracle. D’autres se lancent dans un protocole PMA sans s’informer sur le centre choisi, sur ses taux de réussite ou sur l’expertise de l’équipe médicale.
Je conseille aux femmes de ne pas subir leur parcours, mais de devenir actrices de leur fertilité. Elles ont su bâtir une carrière, prendre des décisions importantes dans leur vie, et cette même intelligence doit les guider dans le choix de leur prise en charge. Il est essentiel de :
• Consulter un spécialiste de la fertilité dès les premiers doutes, sans attendre inutilement.
• Choisir un médecin et un centre de fertilité avec rigueur, en posant des questions sur les taux de réussite, les protocoles proposés et les innovations utilisées.
• Ne pas hésiter à demander un deuxième avis, mais sans tomber dans une errance médicale contre-productive.
• Se faire accompagner et soutenir : Un parcours PMA peut être éprouvant, et l’entourage, un coach santé ou un groupe de soutien peuvent faire la différence.
À celles qui se sentent découragées par l’âge et les limites des traitements, je rappelle que chaque cas est unique. L’âge n’est pas une fatalité, mais un facteur qui demande une approche adaptée. Avec les bonnes stratégies médicales et un accompagnement personnalisé, les chances de succès existent toujours.
Pendant longtemps, les scientifiques ont fixé cet âge comme un seuil critique en matière de fertilité féminine. Avant 35 ans, la plupart des femmes n’éprouvent pas de difficulté majeure à concevoir. Après cet âge, les chances de grossesse diminuent sensiblement, et les risques de complications augmentent. En témoignent les termes médicaux tels que «grossesse gériatrique» ou «mère âgée», des expressions qui, bien que peu flatteuses, traduisent une réalité biologique implacable.
Au Maroc, de nombreux spécialistes sont confrontés à des patientes qui, après un mariage tardif, espèrent concevoir naturellement. Mais le temps joue contre elles. Entre espoir et désillusion, beaucoup se heurtent à une réalité difficile : celle d’un parcours semé d’embûches, où les traitements de fertilité deviennent souvent la seule alternative, parfois sans garantie de succès.
La baisse de la réserve ovarienne, un obstacle majeur
«Les chances de succès des traitements de fertilité diminuent avec l’âge», explique Chafika Bendjennat, coach santé et thérapeute en fertilité. «Mais il est essentiel de rappeler que la fertilité n’est pas qu’une affaire de femme ! Le futur papa joue un rôle tout aussi important, et son bilan peut influencer les chances de réussite d’une grossesse», assure-t-elle. La baisse de la fertilité féminine commence dès la trentaine, s’accélère après 35 ans et devient encore plus marquée après 40 ans, en raison d’une diminution du nombre et de la qualité des ovocytes. Toutefois, la principale difficulté rencontrée par les spécialistes est la baisse précoce de la réserve ovarienne, une situation de plus en plus fréquente qui complique davantage la conception.Pour celles qui consultent après 35 ou 40 ans, différentes options restent envisageables, en fonction du bilan médical du couple. «Si la réserve ovarienne est encore correcte et qu’aucun autre problème majeur n’est détecté, une stimulation ovarienne suivie d’une insémination artificielle peut être une option», précise l’experte. «Dans d’autres cas, une FIV (fécondation in vitro) est souvent privilégiée pour maximiser les chances de succès, voire complétée par un dépistage génétique préimplantatoire (PGT) pour éviter certaines anomalies chromosomiques».
Cependant, même si après 40 ans, les chances de succès diminuent considérablement, certaines femmes ayant congelé leurs ovocytes plus jeunes peuvent encore espérer une grossesse grâce à cette technique de préservation de la fertilité.
«Le principal défi pour ces femmes reste la baisse de la réserve ovarienne, qui réduit les chances de grossesse spontanée et l’efficacité des traitements de PMA», souligne Chafika Bendjennat. En effet, dès la naissance, une femme possède environ 1 à 2 millions d’ovocytes, un nombre qui chute à 300.000 à la puberté et continue de diminuer jusqu’à la ménopause. Après 35 ans, cette diminution s’accélère et la qualité des ovocytes se détériore, augmentant les risques d’anomalies chromosomiques et de fausses couches.
Le rôle du futur père dans la fertilité du couple
À cela s’ajoutent des complications obstétricales plus fréquentes : «Les femmes de plus de 40 ans sont plus exposées à l’hypertension artérielle, au diabète gestationnel et aux accouchements prématurés.» Mais la fertilité masculine joue également un rôle clé. Contrairement aux idées reçues, l’âge du futur père impacte aussi les chances de conception. «Le stress oxydatif, la pollution et certaines pathologies comme la varicocèle chez les hommes peuvent réduire les taux de succès des traitements et augmentant le risque de fausse couche».Les chiffres parlent d’eux-mêmes : à 40 ans, le taux de réussite d’une FIV est d’environ 10 à 15%, contre 40% avant 35 ans. Un écart qui souligne l’importance de l’anticipation. «Un bilan hormonal et un spermogramme dès 33-35 ans permettent d’adapter les stratégies et d’optimiser les chances de grossesse», insiste la spécialiste. L’information et la prévention restent ainsi les meilleures armes face à l’horloge biologique, pour aider chaque femme à mettre toutes les chances de son côté dans son parcours vers la maternité.
Entretien avec Chafika Bendjennat, coach santé, thérapeute en fertilité
Le Matin : À quel âge est-il conseillé de consulter un spécialiste de la fertilité si l’on rencontre des difficultés à concevoir ou en cas d’un mariage à un âge avancé ? Y a-t-il des signes ou symptômes qui devraient inciter une femme à consulter plus tôt ?
Chafika Bendjennat :
C’est pourquoi il est recommandé aux femmes qui ne sont pas encore mariées de consulter un gynécologue spécialiste de la fertilité dès l'âge de 33 ans. Il ne faut pas attendre le mariage pour entamer cette démarche. Un simple bilan hormonal peut permettre d’évaluer la réserve ovarienne et d’anticiper d’éventuelles difficultés. Trop souvent, des femmes très actives qui décident d’avoir un enfant après 35 ans découvrent que ce n’est pas aussi facile qu’elles l’avaient imaginé.
Certaines femmes devraient consulter encore plus tôt, notamment en présence de signes évocateurs d’un trouble de la fertilité. Par exemple : Des menstruations très douloureuses accompagnées de crampes intenses ne doivent pas être considérées comme normales. Elles peuvent être le signe d’une endométriose, une maladie qui peut non seulement impacter la qualité de vie, mais aussi affecter la fertilité.
Des cycles irréguliers peuvent révéler une insuffisance ovarienne précoce ou un syndrome des ovaires polykystiques (SOPK). Ce syndrome très répandu s’accompagne souvent de signes cliniques liés aux troubles hormonaux comme une pilosité excessive, une peau grasse avec de l’acné persistante, une prise de poids difficile à contrôler ou encore une chute de cheveux.
Comment les habitudes de vie, telles que l'alimentation et l’exercice, peuvent-elles influencer la fertilité à un âge plus avancé ?
Les habitudes de vie influencent la fertilité bien avant 35 ou 38 ans. Une femme qui approche la trentaine et envisage de se marier devrait déjà adopter une hygiène de vie adaptée. L’épigénétique montre que le mode de vie des parents dans les 6 mois précédant la conception influence directement la santé de l’enfant.
De nombreux troubles de la fertilité sont initiés, entretenus ou aggravés par une alimentation inadaptée. L’alimentation fonctionnelle joue un rôle clé dans l’amélioration de la fertilité, le bon déroulement de la grossesse et la santé du futur enfant.
C’est pourquoi, dans mes programmes d’accompagnement, j'aide les femmes qui souhaitent optimiser leur fertilité, qu’elles soient en essai naturel ou en parcours PMA (Procréation médicale assistée). Nous travaillons, moi et l'équipe médicale partenaire spécialiste en infertilité, sur un mode de vie adapté, incluant un régime pro-fertilité conçu pour améliorer la qualité des ovocytes et du sperme, réduire l’inflammation et équilibrer les hormones.
J’explore les principes de l’alimentation fonctionnelle, expliquant aux couples pourquoi et comment les choix alimentaires impactent la santé et la fertilité. L’objectif est de donner aux femmes les outils pour anticiper et maximiser leurs chances de conception, que ce soit naturellement ou via une assistance médicale à la procréation.
Existe-t-il des techniques de relaxation ou de gestion du stress spécifiques qui peuvent améliorer les chances de conception chez les femmes plus âgées ?
Les couples, et en particulier les femmes en parcours PMA, sont souvent confrontés à un niveau de stress extrêmement élevé. L’attente des résultats, les échecs d’implantation ou l’absence de grossesse peuvent provoquer un sentiment d’impuissance, de tristesse profonde, voire une dépression.
C’est pourquoi je mets un point d’honneur à les préparer émotionnellement dès le début. Il est essentiel de comprendre que la FIV n’est pas une garantie de grossesse, mais une tentative, avec des chances qui s’améliorent grâce à un taux cumulatif au fil des essais.
Pour les accompagner, j’intègre des séances de coaching santé et de motivation, où nous travaillons sur la gestion des émotions, la résilience et la préparation mentale aux éventuels échecs. La respiration cardiaque est une technique clé pour aider à surmonter les moments de stress intense, notamment avant un protocole ou lors d’une crise d’angoisse.
Nous pouvons également avoir recours à certaines disciplines de médecine parallèle, à condition qu’elles soient pratiquées par des médecins experts. Il existe, aujourd’hui, de plus en plus de médecins spécialisés en médecine chinoise, en acupuncture ou dans d’autres approches complémentaires, qui peuvent aider à réduire le stress et l’anxiété tout en soutenant le parcours de fertilité.
L’objectif est d’aider les couples à aborder leur parcours PMA avec plus de sérénité, à mieux gérer leurs émotions et à maintenir un équilibre psychologique essentiel pour optimiser leurs chances de succès.
Enfin que recommandez-vous aux femmes qui se sentent découragées par la pression de l'âge et les traitements qui semblent plus limités ?
L’un des pièges les plus courants dans un parcours de fertilité est la perte de temps précieux. Beaucoup de femmes passent d’un médecin à un autre, sans réelle spécialisation en fertilité, ou changent de praticien comme on change de chemise, espérant trouver une solution miracle. D’autres se lancent dans un protocole PMA sans s’informer sur le centre choisi, sur ses taux de réussite ou sur l’expertise de l’équipe médicale.
Je conseille aux femmes de ne pas subir leur parcours, mais de devenir actrices de leur fertilité. Elles ont su bâtir une carrière, prendre des décisions importantes dans leur vie, et cette même intelligence doit les guider dans le choix de leur prise en charge. Il est essentiel de :
• Consulter un spécialiste de la fertilité dès les premiers doutes, sans attendre inutilement.
• Choisir un médecin et un centre de fertilité avec rigueur, en posant des questions sur les taux de réussite, les protocoles proposés et les innovations utilisées.
• Ne pas hésiter à demander un deuxième avis, mais sans tomber dans une errance médicale contre-productive.
• Se faire accompagner et soutenir : Un parcours PMA peut être éprouvant, et l’entourage, un coach santé ou un groupe de soutien peuvent faire la différence.
À celles qui se sentent découragées par l’âge et les limites des traitements, je rappelle que chaque cas est unique. L’âge n’est pas une fatalité, mais un facteur qui demande une approche adaptée. Avec les bonnes stratégies médicales et un accompagnement personnalisé, les chances de succès existent toujours.
