Bien que la situation épidémiologique, selon le ministère de la Santé, soit normale, les autorités sanitaires notent une augmentation sensible des cas de grippe. La société étant toujours sous le choc de l’épisode Covid-19, cette situation inquiète.
Joint par le quotidien «Le Matin», Dr Tayeb Hamdi, médecin chercheur en politiques et systèmes de santé estime que l’augmentation des cas de grippe, avec une légère hausse des cas de la Covid, est tout à fait normale en cette période de l’année. Il évoque pour expliquer cette situation, quatre principaux facteurs :
• Premièrement, nous passons plus de temps dans des espaces clos pendant l’hiver avec une tendance à fermer les portes et les fenêtres, ce qui crée le climat propice à la circulation des virus.
• Deuxièmement, l’immunité s’affaiblit pendant l’hiver et les muqueuses au niveau du nez et de la gorge deviennent plus lésées.
• Troisièmement, les virus arrivent à survivre à l’extérieur beaucoup plus longtemps pendant l’hiver que pendant l’été, ce qui favorise la contamination indirecte qui se fait en touchant les objets comme les poignets, les bureaux, etc.
• Quatrièmement : l’immunité acquise contre la Covid-19 s’est affaiblie puisque la majorité de la population n’a pas reçu les doses de rappel depuis presque deux ans et c’est ce qui explique la légère augmentation constatée durant ces dernières semaines des cas graves et de décès.
Joint par le quotidien «Le Matin», Dr Tayeb Hamdi, médecin chercheur en politiques et systèmes de santé estime que l’augmentation des cas de grippe, avec une légère hausse des cas de la Covid, est tout à fait normale en cette période de l’année. Il évoque pour expliquer cette situation, quatre principaux facteurs :
• Premièrement, nous passons plus de temps dans des espaces clos pendant l’hiver avec une tendance à fermer les portes et les fenêtres, ce qui crée le climat propice à la circulation des virus.
• Deuxièmement, l’immunité s’affaiblit pendant l’hiver et les muqueuses au niveau du nez et de la gorge deviennent plus lésées.
• Troisièmement, les virus arrivent à survivre à l’extérieur beaucoup plus longtemps pendant l’hiver que pendant l’été, ce qui favorise la contamination indirecte qui se fait en touchant les objets comme les poignets, les bureaux, etc.
• Quatrièmement : l’immunité acquise contre la Covid-19 s’est affaiblie puisque la majorité de la population n’a pas reçu les doses de rappel depuis presque deux ans et c’est ce qui explique la légère augmentation constatée durant ces dernières semaines des cas graves et de décès.