Le village olympique, situé à cheval entre Saint-Denis et Saint-Ouen, comprendra une équipe dans "un espace permettant aux athlètes et à leur entourage d'être à l'écoute de leurs émotions et de se préparer sur le plan psychologique", annonce le CIO.
"Aucun problème ne sera insignifiant aux yeux" de cette équipe dédiée, "dont les membres ont été formés à la protection des athlètes et aux premiers secours en santé mentale", promet l'organisation, qui proposera aussi "des activités de pleine conscience" - respiration, visualisation - pour réduire l'anxiété et améliorer la concentration.
Par ailleurs, le village olympique des JO de Paris intègrera pour la première fois une crèche. La future nurserie "ne fournira pas de services de garde d'enfants", mais "un espace de jeu propice à la création de liens familiaux", réservable "pour un créneau horaire privé ou partagé", indique l'organisation.
"De nombreux athlètes doivent concilier leur carrière sportive et leur famille", a souligné l'ex hockeyeuse finlandaise Emma Terho, présidente de la commission des athlètes du CIO. "Je sais ce que l'on ressent, car j'ai participé aux Jeux olympiques d'hiver de 2014 en tant que mère d'un jeune enfant".
Pour elle, "la grossesse et la maternité ne doivent pas signifier la fin d'une carrière pour les athlètes féminines", un sujet dont s'emparent de plus en plus les instances sportives - dont la Fifa, qui a récemment étendu le congé maternité adopté en 2011 et prôné "plus de contacts" entre les joueuses et leurs familles pendant les tournois internationaux.
"Aucun problème ne sera insignifiant aux yeux" de cette équipe dédiée, "dont les membres ont été formés à la protection des athlètes et aux premiers secours en santé mentale", promet l'organisation, qui proposera aussi "des activités de pleine conscience" - respiration, visualisation - pour réduire l'anxiété et améliorer la concentration.
Par ailleurs, le village olympique des JO de Paris intègrera pour la première fois une crèche. La future nurserie "ne fournira pas de services de garde d'enfants", mais "un espace de jeu propice à la création de liens familiaux", réservable "pour un créneau horaire privé ou partagé", indique l'organisation.
"De nombreux athlètes doivent concilier leur carrière sportive et leur famille", a souligné l'ex hockeyeuse finlandaise Emma Terho, présidente de la commission des athlètes du CIO. "Je sais ce que l'on ressent, car j'ai participé aux Jeux olympiques d'hiver de 2014 en tant que mère d'un jeune enfant".
Pour elle, "la grossesse et la maternité ne doivent pas signifier la fin d'une carrière pour les athlètes féminines", un sujet dont s'emparent de plus en plus les instances sportives - dont la Fifa, qui a récemment étendu le congé maternité adopté en 2011 et prôné "plus de contacts" entre les joueuses et leurs familles pendant les tournois internationaux.