Plusieurs années après l’incident ayant éclaté entre Abderrazak Hamadallah et Fayçal Fajr sous les ordres de Hervé Renard, le match opposant le Maroc au Gabon vendredi a enregistré un fait similaire, mais avec moins de remous. Au moment de tirer un penalty sifflé par l’arbitre mauritanien Dahane Beida, vendredi soir à Agadir, Hakim Ziyech a été approché par Brahim Diaz, qui espérait marquer son premier but sous le maillot du Maroc. Le capitaine a refusé puis a tiré avec succès, signant un doublé.
Brahim Diaz, lui, a ensuite débloqué son compteur avec les Lions de l'Atlas en profitant d’une passe d’Ezzalzouli. Après le coup de sifflet final, Walid Regragui a dû répondre aux interrogations des journalistes sur ce sujet. Le sélectionneur n’a pas mâché ses mots et a clairement défendu son capitaine : “ Je ne vois aucun problème en ce qui s'est passé entre Hakim et Brahim. Diaz a demandé à Hakim de tirer le penalty mais Hakim a senti qu'il pouvait le mettre et il a marqué. Ça aurait pu être un problème si la hiérarchie n'avait pas été respectée. Nous avons établi la liste des tireurs avec Ziyech en tête, suivi de Rahimi puis Diaz... Ce sont de grands professionnels et je suis sûr qu'ils oublient ça dès qu'ils quittent la pelouse. Vous verrez qu'ensuite, ils combineront toujours et joueront naturellement l'un à côté de l'autre...”.
Le coach a ensuite clarifié qu’il n'hésiterait pas à intervenir s’il venait à remarquer que l’égo d’un joueur menaçait les intérêts de l’équipe : “ Je pourrais intervenir si je constate qu'un joueur privilégie son intérêt sur celui de la sélection, et seulement dans ce cas. Là encore, il faut attendre le bon moment pour le faire, comme je l’ai toujours répété”. Rappelons que Walid Regragui avait replacé Ziyech sur l’axe du terrain vendredi, pour offrir plus d’espaces à Diaz sur le couloir droit.
Brahim Diaz, lui, a ensuite débloqué son compteur avec les Lions de l'Atlas en profitant d’une passe d’Ezzalzouli. Après le coup de sifflet final, Walid Regragui a dû répondre aux interrogations des journalistes sur ce sujet. Le sélectionneur n’a pas mâché ses mots et a clairement défendu son capitaine : “ Je ne vois aucun problème en ce qui s'est passé entre Hakim et Brahim. Diaz a demandé à Hakim de tirer le penalty mais Hakim a senti qu'il pouvait le mettre et il a marqué. Ça aurait pu être un problème si la hiérarchie n'avait pas été respectée. Nous avons établi la liste des tireurs avec Ziyech en tête, suivi de Rahimi puis Diaz... Ce sont de grands professionnels et je suis sûr qu'ils oublient ça dès qu'ils quittent la pelouse. Vous verrez qu'ensuite, ils combineront toujours et joueront naturellement l'un à côté de l'autre...”.
Le coach a ensuite clarifié qu’il n'hésiterait pas à intervenir s’il venait à remarquer que l’égo d’un joueur menaçait les intérêts de l’équipe : “ Je pourrais intervenir si je constate qu'un joueur privilégie son intérêt sur celui de la sélection, et seulement dans ce cas. Là encore, il faut attendre le bon moment pour le faire, comme je l’ai toujours répété”. Rappelons que Walid Regragui avait replacé Ziyech sur l’axe du terrain vendredi, pour offrir plus d’espaces à Diaz sur le couloir droit.