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La FIFA a annoncé, jeudi, que le Maroc serait l’hôte des cinq prochaines éditions de la Coupe du monde féminine U17, une compétition qui sera désormais disputée annuellement. Avec désormais 24 participants, la compétition se tiendra chaque année au Royaume, à partir de l’édition de 2025 et jusqu’en 2029.
La Fédération Royale marocaine de football a précisé que cette organisation fait suite à «un appel mondial à manifestation d’intérêt pour l’accueil des deux compétitions, en mettant l’accent sur l’utilisation des infrastructures de football existantes dans l’intérêt de l’efficacité et de la durabilité des tournois». Suite à la décision du Conseil de la FIFA, le Maroc sera le premier pays africain à accueillir la Coupe du monde féminine U17 de la FIFA. Le pays, qui accueillera cette année sa deuxième édition successive de la Coupe d'Afrique des nations féminine, sera également la première association membre de la FIFA à se voir octroyer l’organisation d’une compétition sur plusieurs années d’affilée, au même titre que le Qatar qui organisera de son côté la Coupe du monde masculine U17 de la FIFA.
Jeudi toujours, le président de la FIFA, Gianni Infantino, a vivement remercié le Maroc, assurant que le football en général et le football féminin en particulier ont observé un grand bond qualitatif au Royaume : «Le football n’a cessé de se renforcer au Maroc ces dernières années. La sélection masculine a atteint le dernier carré de la Coupe du monde de la FIFA au Qatar, tandis que l’équipe nationale féminine a connu une impressionnante progression grâce au soutien du gouvernement marocain, de la Fédération Royale marocaine de football et au talent des joueuses... Je suis convaincu que le fait d’organiser la Coupe du monde féminine U17 de la FIFA ces cinq prochaines années encouragera énormément de jeunes filles et garçons à jouer au football dans le pays. C’est aussi la première fois que ce tournoi se disputera en Afrique, le phénomène pourra donc se répandre sur tout le continent.»
La FIFA a précisé, en outre, que la compétition s’appuiera sur les mêmes structures organisationnelles et infrastructures (de la technologie du football aux dispositifs de diffusion en passant par les transports et l’hébergement), ce qui permettra de réduire les coûts et de gagner en efficacité.
La Fédération Royale marocaine de football a précisé que cette organisation fait suite à «un appel mondial à manifestation d’intérêt pour l’accueil des deux compétitions, en mettant l’accent sur l’utilisation des infrastructures de football existantes dans l’intérêt de l’efficacité et de la durabilité des tournois». Suite à la décision du Conseil de la FIFA, le Maroc sera le premier pays africain à accueillir la Coupe du monde féminine U17 de la FIFA. Le pays, qui accueillera cette année sa deuxième édition successive de la Coupe d'Afrique des nations féminine, sera également la première association membre de la FIFA à se voir octroyer l’organisation d’une compétition sur plusieurs années d’affilée, au même titre que le Qatar qui organisera de son côté la Coupe du monde masculine U17 de la FIFA.
Jeudi toujours, le président de la FIFA, Gianni Infantino, a vivement remercié le Maroc, assurant que le football en général et le football féminin en particulier ont observé un grand bond qualitatif au Royaume : «Le football n’a cessé de se renforcer au Maroc ces dernières années. La sélection masculine a atteint le dernier carré de la Coupe du monde de la FIFA au Qatar, tandis que l’équipe nationale féminine a connu une impressionnante progression grâce au soutien du gouvernement marocain, de la Fédération Royale marocaine de football et au talent des joueuses... Je suis convaincu que le fait d’organiser la Coupe du monde féminine U17 de la FIFA ces cinq prochaines années encouragera énormément de jeunes filles et garçons à jouer au football dans le pays. C’est aussi la première fois que ce tournoi se disputera en Afrique, le phénomène pourra donc se répandre sur tout le continent.»
La FIFA a précisé, en outre, que la compétition s’appuiera sur les mêmes structures organisationnelles et infrastructures (de la technologie du football aux dispositifs de diffusion en passant par les transports et l’hébergement), ce qui permettra de réduire les coûts et de gagner en efficacité.
