À quelques semaines de la tenue de son congrès national, le Parti authenticité et modernité (PAM) fait face à une épreuve délicate, puisque deux de ses membres comptant parmi les têtes d’affiche sont poursuivis dans le cadre d’une enquête liée au trafic de drogue. Réuni jeudi dernier, son bureau politique s’est dit confiant dans l’indépendance de la justice tout en dénonçant les attaques dont le parti fait l’objet à cause de ce procès.
Par ailleurs, suite à cette réunion de son bureau politique, le PAM dénonce fermement «l’exploitation» de ce dossier à des fins de diffamation du parti et de ses responsables. Le PAM indique qu’il engagera des poursuites judiciaires contre toute personne qui chercherait à ternir son image et l’honneur de ses militants à travers des «campagnes de diffamation délibérées». Un ton assez ferme pour répondre surtout aux rumeurs évoquant la démission du secrétaire général, Abdellatif Ouahbi, en raison de cette affaire.
Dans son communiqué, le PAM précise qu’il «engagera toutes les procédures légales et judiciaires nécessaires contre toute personne qui chercherait à ternir l’image du parti et l’honneur de ses militants à travers des campagnes de diffamation délibérées». Le parti a affirmé avec force que ces campagnes «ne détourneront pas le PAM de défendre publiquement ses valeurs fondamentales modernes, de poursuivre la défense de ses principes et valeurs, et de contribuer au développement de la vie politique publique dans le pays».
Le PAM a également exprimé son rejet de «l’exploitation de ce dossier à des fins de diffamation du parti et de tentative d’atteinte à ses responsables et à ses militants engagés, connus pour leur grand sens patriotique et leur loyauté au service de l’intérêt supérieur de la Nation et des citoyens, qu’ils soient au gouvernement, au Parlement, dans les collectivités territoriales ou ailleurs». Cependant, le communiqué est resté muet au sujet des noms que le parti pourrait proposer pour remplacer éventuellement les deux présidents à la tête de la région de l’Oriental et du conseil provincial de Casablanca.
Le PAM dénonce une campagne de diffamation et menace d’engager des poursuites
En effet, très attendu à ce sujet, le bureau politique a abordé l’évolution du dossier concernant les poursuites engagées contre deux membres du parti : le président de la région de l’Oriental, Abdenbi Bioui (et à ce titre membre de la direction du parti), et Saïd Naciri, président du conseil provincial de Casablanca. Tout en rappelant la suspension des mis en cause des instances du parti dès l’ouverture de l’enquête, le bureau politique réaffirme sa totale confiance dans l’indépendance de l’autorité judiciaire et son engagement à garantir toutes les procédures légales et judiciaires nécessaires, notamment la présomption d’innocence et le droit à un procès équitable.Par ailleurs, suite à cette réunion de son bureau politique, le PAM dénonce fermement «l’exploitation» de ce dossier à des fins de diffamation du parti et de ses responsables. Le PAM indique qu’il engagera des poursuites judiciaires contre toute personne qui chercherait à ternir son image et l’honneur de ses militants à travers des «campagnes de diffamation délibérées». Un ton assez ferme pour répondre surtout aux rumeurs évoquant la démission du secrétaire général, Abdellatif Ouahbi, en raison de cette affaire.
Dans son communiqué, le PAM précise qu’il «engagera toutes les procédures légales et judiciaires nécessaires contre toute personne qui chercherait à ternir l’image du parti et l’honneur de ses militants à travers des campagnes de diffamation délibérées». Le parti a affirmé avec force que ces campagnes «ne détourneront pas le PAM de défendre publiquement ses valeurs fondamentales modernes, de poursuivre la défense de ses principes et valeurs, et de contribuer au développement de la vie politique publique dans le pays».
Le PAM a également exprimé son rejet de «l’exploitation de ce dossier à des fins de diffamation du parti et de tentative d’atteinte à ses responsables et à ses militants engagés, connus pour leur grand sens patriotique et leur loyauté au service de l’intérêt supérieur de la Nation et des citoyens, qu’ils soient au gouvernement, au Parlement, dans les collectivités territoriales ou ailleurs». Cependant, le communiqué est resté muet au sujet des noms que le parti pourrait proposer pour remplacer éventuellement les deux présidents à la tête de la région de l’Oriental et du conseil provincial de Casablanca.