Après les parlementaires, Chakib Benmoussa défend le nouveau statut de l’Education nationale devant les journalistes lors de la conférence de presse organisée à la suite du Conseil du gouvernement de ce jeudi 26 octobre.
Interpellé sur la suite que son ministère compte donner aux doléances des contestataires de ce statut, le ministre de l'Education nationale a tenu à rappeler qu’il s’agit d’un texte élaboré suivant une démarche collective et inclusive. Et d’expliquer qu’il s’agit de l’une des étapes entreprises pour la réforme de l’école publique et pour redonner confiance en ces établissements. « L’enseignant est au cœur de la réforme pour garantir une école de qualité pour tous. Notre principal objectif est de permettra d’accroître la valorisation et la motivation des enseignants », réaffirme le ministre devant les journalistes. Il ajoute que ce texte a été élaboré en conformité avec les conclusions de l’accord conclu le 14 janvier dernier entre le gouvernement et les syndicats de l’éducation.
Evoquant les grèves répétitives des enseignants un peu partout au Maroc, le ministre a livré une estimation du nombre de grévistes insinuant que ce dernier reste limité. « Je peux vous dire aujourd’hui qu’ils sont près de 96.000 enseignants-grévistes à manifester à travers le royaume, les jours précédents, le nombre variait entre 80 et 100.000. Si l’on compare aux 330.000 fonctionnaires concernés par ce statut, cela représente quelques 30% », a indiqué le ministre avant de souligner que ces données sont bien évidemment prises en compte par son département.
Pour essayer de dissiper les incompréhensions d’une part et d’autres, le ministère annonce avoir pris un certain nombre de mesures. Il s’agit notamment de renforcer la communication autour du nouveau texte et d’expliquer ses dispositions. « De nombreux messages qu’on voit circuler sur les réseaux sociaux sont infondés ou n’ont pas de lien avec les dispositions du nouveau statut. Nous voulons expliquer le contenu de ce texte qui finalement ne fait que répondre aux doléances et attentes des enseignants », souligne Benmoussa.
Par ailleurs, le ministre indique que le dialogue avec les parties concernées va se poursuivre. « Le nouveau statut n’est que la première étape d’un long processus de réformes. L’accord de janvier prévoit une évaluation et un suivi de la mise en œuvre de ce texte ainsi que la révision de certains points en cas de nécessité. Il faut savoir que les textes d’applications de ce statut peuvent clarifier certains points et donner certaines garanties dissipant ainsi de nombreuses inquiétudes chez certains », explique le ministre. A ce sujet, il évoque l’exemple des informations qui circulent sur une hausse des heures des cours par enseignant. Le ministre rassure : pas de changement d’heures de cours pour les enseignants.
Comme troisième mesure déployée par le département de l’Education nationale, le ministre dit être disposé à discuter et étudier les nouveaux dossiers qui n’existaient pas lors de la discussion du gouvernement avec les syndicats. « On comprends que de nouveaux dossiers et de nouvelles questions peuvent se poser aujourd’hui et que nous n’avons pas traité auparavant. Nous sommes prêts à les prendre en charge et à les étudier », indique le responsable. Il rappelle dans ce sens que cette réforme fait partie d’un processus qui va durer dans le temps.
Interpellé sur la suite que son ministère compte donner aux doléances des contestataires de ce statut, le ministre de l'Education nationale a tenu à rappeler qu’il s’agit d’un texte élaboré suivant une démarche collective et inclusive. Et d’expliquer qu’il s’agit de l’une des étapes entreprises pour la réforme de l’école publique et pour redonner confiance en ces établissements. « L’enseignant est au cœur de la réforme pour garantir une école de qualité pour tous. Notre principal objectif est de permettra d’accroître la valorisation et la motivation des enseignants », réaffirme le ministre devant les journalistes. Il ajoute que ce texte a été élaboré en conformité avec les conclusions de l’accord conclu le 14 janvier dernier entre le gouvernement et les syndicats de l’éducation.
Evoquant les grèves répétitives des enseignants un peu partout au Maroc, le ministre a livré une estimation du nombre de grévistes insinuant que ce dernier reste limité. « Je peux vous dire aujourd’hui qu’ils sont près de 96.000 enseignants-grévistes à manifester à travers le royaume, les jours précédents, le nombre variait entre 80 et 100.000. Si l’on compare aux 330.000 fonctionnaires concernés par ce statut, cela représente quelques 30% », a indiqué le ministre avant de souligner que ces données sont bien évidemment prises en compte par son département.
Pour essayer de dissiper les incompréhensions d’une part et d’autres, le ministère annonce avoir pris un certain nombre de mesures. Il s’agit notamment de renforcer la communication autour du nouveau texte et d’expliquer ses dispositions. « De nombreux messages qu’on voit circuler sur les réseaux sociaux sont infondés ou n’ont pas de lien avec les dispositions du nouveau statut. Nous voulons expliquer le contenu de ce texte qui finalement ne fait que répondre aux doléances et attentes des enseignants », souligne Benmoussa.
Par ailleurs, le ministre indique que le dialogue avec les parties concernées va se poursuivre. « Le nouveau statut n’est que la première étape d’un long processus de réformes. L’accord de janvier prévoit une évaluation et un suivi de la mise en œuvre de ce texte ainsi que la révision de certains points en cas de nécessité. Il faut savoir que les textes d’applications de ce statut peuvent clarifier certains points et donner certaines garanties dissipant ainsi de nombreuses inquiétudes chez certains », explique le ministre. A ce sujet, il évoque l’exemple des informations qui circulent sur une hausse des heures des cours par enseignant. Le ministre rassure : pas de changement d’heures de cours pour les enseignants.
Comme troisième mesure déployée par le département de l’Education nationale, le ministre dit être disposé à discuter et étudier les nouveaux dossiers qui n’existaient pas lors de la discussion du gouvernement avec les syndicats. « On comprends que de nouveaux dossiers et de nouvelles questions peuvent se poser aujourd’hui et que nous n’avons pas traité auparavant. Nous sommes prêts à les prendre en charge et à les étudier », indique le responsable. Il rappelle dans ce sens que cette réforme fait partie d’un processus qui va durer dans le temps.