enseignement
breaking news
CAN 2025 : Les Lions de l’Atlas assurent le leadership du groupe A en matant la Zambie
|
Casablanca : Le Zoo de Aïn Sebaâ, entièrement réhabilité, ouvre ses portes au public
|
CAN 2025, en direct : Le complexe Moulay Abdellah s'apprête à accueillir le duel décisif Maroc-Zambie
|
Virus MERS : l’OMS lance l'alerte après 19 cas confirmés et 4 décès
|
Mohamed Saad Berrada, Azzedine El Midaoui, Abdellatif Ouahbi, Amal El Fallah Seghrouchni et Mustapha Baitas répondent aux questions des députés
|
CAN 2025 : Les Lions de l’Atlas assurent le leadership du groupe A en matant la Zambie
|
Casablanca : Le Zoo de Aïn Sebaâ, entièrement réhabilité, ouvre ses portes au public
|
CAN 2025, en direct : Le complexe Moulay Abdellah s'apprête à accueillir le duel décisif Maroc-Zambie
|
Virus MERS : l’OMS lance l'alerte après 19 cas confirmés et 4 décès
|
Mohamed Saad Berrada, Azzedine El Midaoui, Abdellatif Ouahbi, Amal El Fallah Seghrouchni et Mustapha Baitas répondent aux questions des députés
|
Si l’IA, à travers des systèmes comme Chat-GPT, peut déjà répondre correctement à plus de 85% des évaluations universitaires, pourquoi les étudiants devront continuer à apprendre par cœur ? Bien que cynique quelque part, cette question n’en demeure pas moins pertinente. C’est pourquoi Rachid Guerraoui, professeur à la Faculté informatique et communications de l’École polytechnique fédérale de Lausanne, qui a publié ce résultat dans la revue américaine PNAS, estime que cette technologie révolutionnaire pose en effet des défis énormes aux systèmes d’enseignement dans le monde et à l’université marocaine en particulier. Cette dernière est appelée, selon lui, à réinventer ses méthodes pour privilégier la pensée critique, la créativité et la résolution de problèmes, le développement des compétences que l’IA ne peut remplacer. «L’IA doit être considérée comme un partenaire dans l’apprentissage et non comme un recours facile pour les solutions», insiste-t-il.
Dernière Heure