nation
"La Belgique considère l’Initiative marocaine d’autonomie, présentée en 2007, comme un effort sérieux et crédible du Maroc et comme une très bonne base pour une solution acceptée par les parties", a souligné le ministre belge des Affaires étrangères, des affaires européennes, du commerce extérieur et des institutions culturelles, Bernard Quintin, lors d’un point presse à l’issue de sa rencontre, mercredi à Rabat, avec le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita.
Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, s’est entretenu, lundi à Rabat, avec le Secrétaire Général de l’Organisation des Nations Unies pour le Tourisme, Zurab Pololikashvili, en visite de travail au Maroc. Lors de cette entrevue, M. Bourita a mis en avant le partenariat stratégique entre le Maroc et ONU Tourisme, fondé sur des priorités partagées et une vision commune pour l’avenir du tourisme mondial, soulignant le rôle clé du Royaume en tant que leader dans la promotion du tourisme durable à l’échelle mondiale, conformément à la Très Haute Vision de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L'assiste, qui fait du secteur touristique un levier de développement durable et de croissance économique.
Partout dans le monde, l’intelligence artificielle est en train de bouleverser l’ordre établi sur tous les plans : économique, social, culturel et même nos sphères de vies privées, et le Maroc ne fait pas exception. Entre retards à combler, opportunités à saisir et nécessité d’un cadre juridique solide, le Pr Redouane Mrabet nous livre sa vision pour faire de l’IA un levier d’innovation et de développement durable dans le Royaume. Ancien président l'Université Sidi Mohamed Ben Abdellah de Fès, ancien président de l’Université Mohammed V Souissi de Rabat et ancien directeur de l’ENSIAS, ce professeur émérite le dit sans ambages, «le Maroc a du retard, il faut être honnête», d’autant que «nous n’avons pas encore une gestion optimisée de nos données, qui sont pourtant le carburant principal de l’IA». La semaine passée, il a fait une présentantion à la Chambre des représentants où il a particulièrement insisté sur la nécessité de mettre en place un cadre juridique, cette «boussole pour orienter les usages de l’IA, pour protéger les citoyens et, surtout, pour encourager l’innovation».
Dernière Heure