societe
breaking news
CAN 2025 : tenu en échec par le Mali, le Maroc se complique la tâche pour la qualification en huitièmes
|
CAN Maroc 2025 : L'Égypte arrache le premier ticket pour les huitièmes, aux dépens de l'Afrique du Sud
|
Mauvaises conditions météo à Chtouka Aït Baha : Suspension des cours samedi
|
CAN Maroc 2025, en direct : L'ambiance d'avant-match Égypte-Afrique du Sud
|
Fortes averses orageuses, chutes de neige et rafales de vent, de vendredi à dimanche (Alerte météo)
|
CAN 2025 : tenu en échec par le Mali, le Maroc se complique la tâche pour la qualification en huitièmes
|
CAN Maroc 2025 : L'Égypte arrache le premier ticket pour les huitièmes, aux dépens de l'Afrique du Sud
|
Mauvaises conditions météo à Chtouka Aït Baha : Suspension des cours samedi
|
CAN Maroc 2025, en direct : L'ambiance d'avant-match Égypte-Afrique du Sud
|
Fortes averses orageuses, chutes de neige et rafales de vent, de vendredi à dimanche (Alerte météo)
|
Douleurs diffuses, fatigue écrasante, troubles du sommeil, perte de repères… La fibromyalgie est une maladie chronique aussi complexe qu’invisible, souvent reléguée au second plan, voire assimilée – à tort – à un simple trouble psychologique. Certains vont jusqu’à l’attribuer à l’impact supposé de la vaccination contre la Covid-19. Résultat : un diagnostic qui tarde, des patients en errance médicale, et une souffrance silencieuse qui gangrène le quotidien. Pourtant, cette pathologie, bien réelle, repose sur des mécanismes biologiques spécifiques et mérite une reconnaissance à la hauteur de ses impacts. Dans cet entretien sans détour, le Dr Mehdi Chemlal, médecin-réanimateur anesthésiste et spécialiste du traitement interventionnel de la douleur, revient sur les critères diagnostiques, les pistes scientifiques les plus sérieuses sur ses causes, les erreurs fréquentes qui font perdre un temps précieux… et les approches thérapeutiques concrètes qui permettent de redonner espoir aux patients. Un éclairage indispensable sur une maladie encore trop souvent incomprise.
«Maman, dépêche-toi, je vais rater l’échauffement !» crie Inass, 8 ans, la bouche encore pleine de goûter, en grimpant à l’arrière de la voiture. Ce lundi, comme tous les lundis, direction le cours de danse. Demain, ce sera théâtre. Mercredi, robotique. «Le week-end, on souffle, enfin parfois», glisse sa mère, Kenza, en esquissant un sourire fatigué.
Dernière Heure