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NejMaroc, un think tank marocain présidé par le Dr Mohamed Badine El Yattioui, s’impose de plus en plus comme un acteur incontournable de la promotion du Maroc et de l’Afrique sur la scène internationale. Loin d’être un simple observateur passif, NejMaroc agit concrètement, s’appuyant sur des études rigoureuses et des collaborations stratégiques pour mettre en lumière le potentiel du Royaume en tant que pont entre l’Afrique et le reste du monde. Créé en 2017, le think tank affiche déjà un bilan assez impressionnant. Dix revues académiques, une revue hors-série et un ouvrage collectif en collaboration avec des universités espagnoles et mexicaines témoignent de son engagement dans la recherche et la diffusion du savoir. Ces travaux, qui nourrissent le débat public et éclairent les décideurs, abordent des questions cruciales pour le développement du continent. Pour en savoir plus sur NejMaroc, nous avons rencontré son secrétaire général, Yassine El Yatioui, pour un échange approfondi sur ces différents axes, notamment son rôle dans les défis et les opportunités auxquels le Maroc est confronté sur la scène internationale et nationale.
L’universitaire et écrivain franco-suisse, Jean-Marie Heydt, a présenté, mardi à Dakhla, son dernier ouvrage intitulé «Le Sahara marocain : terre de lumière et d’avenir». La cérémonie de présentation de cet ouvrage a été organisée à l’initiative de l’École nationale de commerce et de gestion (ENCG) de Dakhla, en partenariat avec le Conseil de la région de Dakhla-Oued Eddahab, en présence d’une pléiade d’universitaires, de chercheurs, d’étudiants, d’élus et d’acteurs associatifs, outre des consuls généraux accrédités à Dakhla.
Le ministre des Relations Extérieures de la République du Chili, Alberto Van Klaveren Stork, a réitéré, mercredi, "le soutien constant du Chili au processus mené par les Nations Unies en vue d'une solution juste, pragmatique, durable, réaliste, viable, définitive et mutuellement acceptable à la question du Sahara occidental, dans le cadre de l’initiative présentée par le Maroc aux Nations Unies en avril 2007".
Un mois après sa prise de fonction au Haut-Commissaire au Plan, Chakib Benmoussa a présenté à la presse les résultats détaillés du Recensement général de la population et de l'habitat (RGPH) 2024. Réunie au siège du HCP à Rabat, la conférence, très suivie par les médias, a confirmé et approfondi les données initialement communiquées par son prédécesseur, Ahmed Lahlimi. Au 1er septembre 2024, la population légale du Maroc s'élevait à 36.828.330 habitants, avec un taux d'accroissement annuel moyen de 0,85% entre 2014 et 2024. Ce ralentissement démographique s'accompagne d'une urbanisation croissante, atteignant 62,8% de la population, contre 51,4% en 1994. Les sept plus grandes villes concentrent 37,8% de la population urbaine, Casablanca occupant la première place avec plus de 3,23 millions d’habitants, suivie de Tanger (1,27 million), Fès (1,18 million) et Marrakech (1,01 million). M. Benmoussa a également brossé un tableau contrasté de la réalité socio-économique marocaine. D'un côté, il a dévoilé des données alarmantes sur le chômage et les inégalités socio-économiques, notamment concernant le genre et la répartition géographique. De l'autre, il a présenté une cartographie du tissu économique marocain révélant une forte prédominance du secteur privé et des PME, malgré des disparités régionales persistantes et une faible représentation des femmes aux postes de direction. Les détails.
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