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Fortes averses orageuses, chutes de neige et rafales de vent, de vendredi à dimanche (Alerte météo)
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C’est à Rabat, capitale institutionnelle et culturelle du Royaume, que s’est ouverte, mardi, la Conférence régionale africaine sur le droit de suite des artistes. Placée sous l’égide de l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI) et organisée en partenariat avec le Bureau marocain du droit d’auteur et des droits voisins (BMDA), cette rencontre a réuni juristes, créateurs et responsables publics autour d’un même idéal : faire du droit de suite un levier de reconnaissance et d’équité pour les artistes africains. Mais au-delà des discours officiels et des intentions louables, cette conférence met aussi en lumière les contradictions persistantes entre la théorie juridique et la réalité du terrain. Car si le droit de suite est désormais inscrit dans la législation marocaine, et reconnu dans plusieurs pays africains, sa mise en œuvre demeure fragile, inégale et parfois purement symbolique.
Le Royaume du Maroc et l’Union européenne ont signé, le 3 octobre dernier, l'échange de lettres amendant l'accord agricole liant les deux parties, confirmant ainsi la solidité de leur partenariat fondé sur une coopération multidimensionnelle élargie. En vertu de cet accord, les produits agricoles des provinces du Sud bénéficient des mêmes conditions d’accès préférentiel au marché européen que ceux du reste du Royaume, conformément à l’Accord d’association Maroc-UE. Une victoire diplomatique d’autant plus important qu’elle intervient quelques semaines avant le vote par le Conseil de sécurité de l’ONU de sa nouvelle résolution sur le Sahara marocain, un vote qui devrait entériner la dynamique internationale favorable au plan d’autonomie que le Royaume a proposé comme solution pour ce conflit. «Le Maroc n’est plus dans une logique de défense, mais d’affirmation. La reconnaissance internationale est une question de temps, pas de substance», relève Zakaria Abouddahab, professeur de droit et de relations internationales.
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