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CAN 2025 : tenu en échec par le Mali, le Maroc se complique la tâche pour la qualification en huitièmes
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CAN Maroc 2025 : L'Égypte arrache le premier ticket pour les huitièmes, aux dépens de l'Afrique du Sud
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Mauvaises conditions météo à Chtouka Aït Baha : Suspension des cours samedi
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CAN Maroc 2025, en direct : L'ambiance d'avant-match Égypte-Afrique du Sud
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Fortes averses orageuses, chutes de neige et rafales de vent, de vendredi à dimanche (Alerte météo)
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«Notre seul objectif, c’est l’enfant.» Cette déclaration, simple en apparence, cristallise la philosophie qui guide l’action du ministre de l'Éducation nationale, du préscolaire et des sports. Dans un entretien accordé à l’émission «Maa Ramdani», diffusée sur 2M mercredi dernier, il a présenté une vision où chiffres, mesures concrètes et stratégie éducative se conjuguent pour transformer l’école publique. Selon le ministre, le plan exposé pour 2026 illustre cette ambition : un budget de près de 97 milliards de dirhams, un effort historique qui dépasse largement la croissance du PIB, la réhabilitation de plus de 5.300 établissements, la mise en place d’un soutien intensif et continu pour les élèves en difficulté, ainsi que des évaluations pédagogiques régulières permettant de suivre chaque progrès et d’adapter les accompagnements.
Pour le Maroc, le football n’est jamais qu’un jeu. C’est aussi une façon de parler d’Afrique, d’identité, de diplomatie. Dans un entretien accordé à Brut Afrique, Samira Sitaïl, ambassadrice du Royaume en France, revient sur la CAN 2025 pour mieux tracer, en creux, les contours d’un Maroc qui se pense comme trait d’union africain, fort de sa pluralité, sûr de son rôle et de plus en plus à l’aise dans l’exercice de son influence.
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