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Pluies et chutes de neige attendues en début de semaine, retour à la stabilité dès mercredi
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Carburants : Les marges stables au deuxième trimestre 2025, malgré la baisse des coûts d’achat (Conseil de la Concurrence)
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Achraf Hakimi rassure sur son état de santé
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À l’accueil du CHU Ibn Rochd de Casablanca, c’est eux qui font la pluie et le beau temps. Ils décident souvent de qui va être admis en premier, qui doit attendre et parfois qui doit revenir plus tard. Pourtant, ils ne font partie ni du personnel médical ni du personnel administratif. Eux ? ce sont les agents de sécurité. Leur pouvoir est tel que les patients et leurs familles doivent impérativement «composer» avec eux s’ils veulent que leur accès à l’hôpital se passe sans accroc. Et ce pouvoir, par la force des choses, ouvre la voie à tous les abus… favoritisme, copinage, népotisme et corruption sont monnaie courante… Ces agents censés veiller à l’ordre et à l’organisation de l’accueil, se transforment dès lors en garde-chiourmes n’hésitant pas à racketter les gens avec «la bénédiction» de certains médecins et infirmiers, qui fort heureusement se comptent sur les doigts d’une seule main. Il ne s’agit pas là de faire le procès de la profession médicale, qui reste par ailleurs une des plus nobles et est portée par des hommes et des femmes d’une moralité inattaquable et d’une honnêteté intellectuelle irréprochable. Mais il est difficile de croire que les agents puissent agir avec cette impunité s’ils ne se sentaient protégés. Enquête.
Au Maroc, les efforts déployés pour lutter contre l’épidémie de la rougeole commencent à porter leurs fruits. Selon le Dr Saïd Afif, président de l’Association marocaine des sciences de la santé, les cas de rougeole ont diminué de 15% par rapport à la semaine dernière, un signe encourageant d’amélioration. Toutefois, si les autorités sanitaires, soutenues par les ministères concernés, mènent des actions coordonnées pour endiguer l’épidémie, la méfiance des citoyens, exacerbée par la désinformation, constitue un autre combat qui n’est pas gagné d’avance. Experts et journalistes appellent donc à une coopération renforcée entre les autorités publiques et les médias afin de restaurer la confiance du public, indispensable pour faire face à cette crise sanitaire de manière durable.
La sécurité routière demeure un enjeu majeur, tant pour la préservation des vies humaines que pour le développement durable des infrastructures de transport. Chaque année, des millions de personnes perdent la vie sur les routes, et l’Organisation mondiale de la santé œuvre activement pour inverser cette tendance à travers des initiatives globales et des partenariats stratégiques. C’est dans ce contexte que la 4e édition de la Conférence mondiale sur la sécurité routière s’est tenue à Marrakech, du 18 au 20 février, sur le thème «S’engager pour la vie». Cette rencontre a rassemblé des experts, des responsables gouvernementaux et des acteurs du secteur privé pour aborder les défis actuels et futurs en matière de sécurité routière. Le journal «Le Matin» a rencontré Nhan Tran, responsable de la sécurité et de la mobilité à l’OMS, pour discuter des enjeux cruciaux de la sécurité routière, en particulier en Afrique, au Maroc et dans le monde entier.
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